Review
Tonto, guerrier indien, raconte l’histoire méconnue qui a transformé John Reid, un ancien défenseur de la loi, en un justicier légendaire. Le tandem fait des étincelles et entraîne le public dans un tourbillon de surprises et d’humour. Ces deux héros à part vont devoir apprendre à faire équipe pour affronter le pire de la cupidité et de la corruption.
Disney nous présente son film familiale de l’été, Lone Ranger, tiré d’une série fiction diffusée à la radio d’un cow-boy méconnu dans l’hexagone. C’est un peu comme voir le film « The X-Files » sans avoir vu la série. On ne peux pas se dire « est-ce qu’il ont réussi le pari de l’adaptation cinématographique? » ou « est-ce que l’acteur du film correspond à l’état d’esprit de la série? ». Je ne répondrai évidemment pas à ces questions, mais en revanche on connait « Pirate des Caraïbes », et puisqu’il s’agit de la même équipe alors on peux comparer.
Lone Ranger amène à Pirate des Caraïbes un modernisme trop présent, enfonçant le film vers l’absurdité, la palme est attribuée dans la musique de Rossini « Finale » lors de l’affrontement final à cheval tantôt dans le train et sur le train…
Le film n’est pas en soit difficile à comprendre, et le chemin qu’il prend est long (2h30 de film), il a du mal à s’adresser aux enfants et tente, malheureusement en vain, de tenir en halène le public adulte… On a du mal a apprécier à sa juste valeur le contexte d’adaptation, d’histoire et d’humour de ce film . On retrouvera quelques petits passages qui nous rappellerons « Pirate des Caraïbes ».
Si vous avez des enfants d’environs 10 ans, que l’après-midi vous annonce un mauvais temps. Ce film avec un bon pop corn peut réussir votre deuxième partie de journée.
Pas de chance, je n’ai pas d’enfants ni de pop corn ou sucettes… mais j’ai eu une clim qui ne marchait pas, du coup, je me suis cru dans le désert avec eux.
[Critique] The Lone Ranger,
