Review
Wolverine, le personnage le plus emblématique de l’univers des X-Men, est entraîné dans une aventure ultime au cœur du Japon contemporain. Plongé dans un monde qu’il ne connaît pas, il doit faire face au seul ennemi de son envergure, dans une bataille à la vie à la mort. Vulnérable pour la première fois et poussé au bout de ses limites physiques et émotionnelles, Wolverine affrontera non seulement l’acier mortel du samouraï mais aussi les questions liées à sa propre immortalité.
Nous connaissons les aventures des X-Men de tel manière que lorsqu’un énième épisode sort dans nos salles obscures, on finit par croire que l’on nous prend pour des buses. Ce film est comparable à des épisodes de « Fast and Furious », qui nous avait sorti une saga sur le Japon, et où « Wolverine : le combat de l’immortel » nous fait penser à un épisode de « Martine au pays du soleil levant » (Je crois que comparer X-Men a Martine est une insulte aux épisodse de Martine). Cet épisode nous promet plus d’action, plus de combats et plus de mutants, un film où il ne faut pas se prendre la tête : une carte postale sublime avec pleins de clichés, des séquences absurdes comme ce saut de haies sur le toit d’un train a grande vitesse, le tout ponctué par des scénettes de personnes qui parlent dans le film ce qui est assez perturbant.
L’histoire a visiblement été écrite, enfin apparemment il y a un scénario avec des dialogues, j’ai vu le post-it quelques part… On s’en fout, ça se bastonne, on nous en met plein la vue, plein les oreilles assisté d’un montage qui fuse en 3D, histoire de pallier au manque de scénario et au jeu d’acteur de second rôle carrément faiblard du casting. On ressort de ce film convaincu que l’on y reviendra pas, les yeux défoncés par la 3D, et 10dB en moins sur chaques oreilles.
Vous l’aurez compris, je n’ai pas aimé le film et même avec du recul je n’y arrive pas . Les premières critiques ont l’air plutôt bonne mais pour ma part je pense que c’est un film à ne voir que si vous êtes vraiment un gros gros fan de Wolverine … et encore …
Pour terminer, voici un avant goût du film:
Notre envoyé sur place Rémi.B
